Crééen 2009, le collectif « Pas de bébés à la consigne » ne veut plus attendre. En l’absence de mesures gouvernementales, le groupe a présenté ses propositions de
Pasde bébés à la consigne ! Parents, professionnels, citoyens unis pour la qualité de l’accueil et de la scolarisation des jeunes enfants. Nous nous opposons : aux mesures qui portent atteinte à la qualité des modes d’accueil : diminution des taux d’encadrement des enfants, déqualification des professionnels (modifications du décret sur l’accueil
Pas de bébé à la consigne ! " c'est le slogan qui a été scandé pendant la manifestation des deux cents professionnels de la petite enfance à Montpellier. Un mouvement de grève national
Avec« pas de bébés à la consigne », nous exigeons un Plan d’urgence pour un accueil de qualité en faveur de la petite enfance : 1 - création massive de nouvelles structures collectives pour répondre aux besoins d’accueil des familles ; développement de l’accueil des jeunes enfants exclusivement dans le secteur public ou à but non lucratif, à l’abri de
Pas de bébés à la consigne » a donc décidé d’appeler à une journée nationale de grève contre la réforme Taquet des modes d’accueil le 2 février 2021. Nous appuyons cette démarche. Nous avons par ailleurs lu les objectifs que le secrétaire d’État à la famille se fixe pour l’année 2021 : FAIRE DE CETTE ANNEE UNE ANNEE UTILE ! Il a également
Pasde bébés à la consigne. 15,629 likes · 15 talking about this. Pas de bébés à la consigne est un collectif, créé en 2009, qui défend un accueil
Collectifpas de bébés à la consigne : le 3 décembre, même masqué-es, élevons la voix pour la qualité des modes d'accueil ! DFPE : Temps d'échange et de rencontre des la DFPE le jeudi 28 juillet 13h-15h DFPE : L'intersyndicale appelle à la grève le 30 août.
Pasde bébés à la consigne ! Améliorer et développer les modes d’accueil et la scolarisation des jeunes enfants. Les mesures et projets gouvernementaux concernant les modes d’accueil des jeunes enfants (dont le projet de modification du décret du 20 février 2007, relatif aux établissements et services d’accueil de la petite enfance) ainsi que l’école
lecollectif pas de bébés à la consigne adresse aux candidats à l‘élection présidentielle et aux élections législatives de 2022, ses 20 propositions pour une
Dansun communiqué adressé aux candidats aux législatives Pas de bébés à la consigne rappelait que le collectif poursuit son combat pour le développement des modes d’accueil qui est indissolublement lié à l’amélioration de la qualité d’accueil des jeunes enfants. Or, la récente réforme des modes d’accueil et les derniers textes à venir vont signer la
5nno. La réforme des modes d’accueil de la petite enfance continue à ne pas faire l’unanimité auprès des Le gouvernement prévoit néanmoins de publier les ordonnances de cette réforme courant juin. Lire la suite… Cette loi est dangereuse, le 15 avril 2021, le CA de la CNAF Caisse Nationale des Affaires Familiales a rejeté le projet de décret réformant les modes d’accueil. Cette réforme c’est La possibilité d’accueillir plus de bébés par L’accueil en surnombre tous les jours. L’absence d’expérience professionnelle pour le personnel encadrant. Le calcul de leffectif moyen annuel du personnel pour le ratio des 40% de et 60 % de L’inclusion des apprentis dans le calcul du taux d’encadrement. L’administration des médicaments par les non La diminution de la surface d’accueil par enfant de 7m2 à 5,5 m2. Exemples de quotas d’accueil des tous petits Hollande 3 enfants pour un adulte, Hongrie 4 enfants pour un adulte, Grèce 4 enfants pour un adultes… En France, cette réforme fera passer le nombre d’enfants de 5 à 6 enfants pour un adulte. Nous revendiquons L’abandon de la loi ASAP et des projets dordonnaces associés Le bien être et la sécurité des enfants des établissements d’accueil et un Service public de la Petite Enfance de qualité Des conditions de travail décentes Une véritable reconnaissance des Une prise en compte de la pénibilité permettant un départ anticipé à la retraite Une revalorisation des salaires et des carrières La mobilisation doit se poursuivre ! NON à la dégradation de nos métiers pour la compétitivité lucrative NON à des conditions de travail de plus en plus difficiles et dégradées NON à un manque de criant encore plus à cette période de Covid NON à un nombre d’enfants toujours plus important à accueillir NON à des protocoles sanitaires difficilement applicables avec les moyens alloués. Tous et toutes jeudi 3 juin 2021
Mars et mai 2019, janvier 2020, février 2021 par milliers, les de la petite enfance sont dans la rue pour s’opposer à la réforme des modes d’accueil. Mais le gouvernement n’a pas encore bien entendu notre protestation ! Nous refusons le calcul du taux d’encadrement qui conduirait à six bébés par professionnel, la prise en compte des apprentis dans ce taux, le ratio de 40/60 calculé en moyenne annuelle ». Nous refusons l’accueil en surnombre à 115 % tous les jours, huit heures par jour. Nous refusons 5,5 mètre carré seulement par enfant en zone dense. Nous refusons des directions sans expérience professionnelle pour jusqu’à quarante places en crèche. Nous refusons une demie heure seulement par mois d’analyse de pratique en crèche et rien de garanti pour les assistants maternels. Nous exigeons un taux d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants quel que soit l’âge et au moins 50% de professionnels les plus qualifiés en crèche. Nous exigeons une limite à 110 % avec une moyenne hebdomadaire de 100% des inscrits. Nous exigeons 7 mètres carré minimum par enfant garantis sur tout le territoire. Nous exigeons une expérience professionnelle pour diriger toute crèche. Nous exigeons de véritables temps utiles d’analyse de pratiques pour tous les professionnels des modes d’accueil. Nous exigeons aussi le maintien des micro‐crèches à dix enfants, l’élévation globale des niveaux de qualification des professionnels de l’accueil individuel et collectif par la formation initiale et la formation continue diplômante, l’alignement du coût restant aux familles sur la base du quotient familial quel que soit le mode d’accueil. Pour ne pas grever l’avenir des bébés, nous appelons à la grève le 30 mars 2021 dans tous les modes d’accueil. » – Découvrez sur la carte ci-dessous l’ensemble des manifestations prévues partout en France. À Paris, le départ est prévu Place Denfert-Rochereau à 10h. Voir en plein écran – Plus d’informations sur le site et via l’événement facebook Crédit photo Le collectif Pas de bébés à la consigne
Pas de bébés à la consigne ! Un rassemblement et une grève avaient pour but de préserver la qualité d’accueil des jeunes enfants. Le personnel des crèches ne veut pas de dégradation du mode d’accueil des petits enfants Il s’inquiète d’une nouvelle réforme gouvernementale gardée secrète après le décret Morano de 2009 qui viserait à réduire l’encadrement et la surface par enfant. Actuellement, il faut 7 m² par enfant, l’espace serait réduit à 5, 5 m² L’encadrement est actuellement d’une auxiliaire pour 5 bébés et une pour 8 enfants qui marchent. Avec cette réforme, le personnel qualifié pourrait être remplacé par des personnes non qualifiées. Les manifestantes rejettent la marchandisation de la petite enfance. Il faut savoir que le financement par la CAF dépend du taux d’occupation. On assiste aussi à la multiplication des crèches privées, plus chères pour les parents. Selon la déléguée CFDT, la qualité de l’accueil est maintenue pour l’instant à Besançon dans les 12 crèches municipales sous la responsabilité des élus M Dahoui et de Madame Rosa Rebrab La mairie de Besançon a mis en place un guichet unique pour inscrire son enfant soit dans une des 12 crèches collectives offrant 470 places pour un accueil régulier, soit dans les crèches familiales ou les haltes garderies Un rassemblement a été organisé à 14 h esplanade des droits de l’homme avec le soutien des syndicats CFDT, FO et Sud. Le personnel de la crèche des Chaprais, rue Suard, une des plus grosses de la ville était représenté Un petit groupe qui travaille dans une crèche privée était aussi présent Selon le syndicat FO, 152 agents de la Petite Enfance à Besançon se sont déclarés grévistes ce jeudi 23 mai 2019 Cette mobilisation entre dans le cadre d’une mobilisation nationale des agents des structures de la petite enfance. Le but du mouvement est de préserver la qualité d’accueil des jeunes enfants. Les syndicats craignent des mesures du projet de réforme du ministère de l’action sociale et de la santé taux d’encadrement dégradé, possibilité d’accueil en surnombre, surface d’accueil réduite, etc. Voici les revendications du mouvement national Atteindre l’objectif d’un ratio moyen d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants en établissement d’accueil du jeune enfant à l’horizon 2022. Revenir à un ratio d’au moins 50% de professionnels les plus qualifiés en EAJE, mesure qui devrait être immédiatement suivie d’un plan de formation initiale et continue permettant d’élever progressivement ce ratio. Limiter les possibilités d’accueil en surnombre à 110% de l’effectif en EAJE. Garantir une surface de 7 m² minimum par enfant. Élever globalement les niveaux de qualification de l’ensemble des professionnel-le-s des modes d’accueil individuels et collectifs, en formation initiale et formation continue diplômante et permettre à tous de bénéficier de réels parcours de promotion professionnelle. Instituer et financer des temps d’analyse sur les pratiques professionnelles en EAJE et pour les assistant-e-s maternel-le-s exerçant à domicile. Redéfinir le mode de financement des EAJE en encadrant la tendance à rentabiliser » les temps d’accueil au détriment de la qualité d’accueil. About Author Billets similaires